LAC EDOUARD SOUS LE REGNE DU M23 DESOLATION

 

Le Lac Édouard, dans le Parc National des Virunga sous menaces des rebelles RDF-M23.

Avec une superficie des 2 325 km², une longueur de 77 km et situé sur une altitude de 912 m.
Alimenté avec un début régulier par les rivières Ishasha, Ntungwe, Rwindi et Rutshuru, le Lac Édouard est une partie intégrante du Parc National des Virunga ( PNVi). 
Le lac Édouard est réputé par sa profondeur des 117 m maximal et 34 m en moyenne, il se trouve dans la vallée du Grand Rift sur la frontière entre la République Démocratique du Congo et la République de Ouganda. 
Étant une patrimoine mondiale de l'UNESCO le Lac Édouard traverse une menace comme le PNVi dans son ensemble. 
 
L'occupation des rebelles terroristes de la coalition RDF-M23, Plusieurs actions criminelles sont enregistrées dont les plupart sont :
◇ Trafic illégale des spécimens, 
◇ Braconnage des mammifères, (d'hippopotames, antilopes, buffles etc...)
◇ Déforestation par coupe d'arbres rares (bois rouge)
◇ Occupation des terres du parc par des communautés riveraines sous leur contrôle, 
◇ Agricultures et autres exploitations des forêts telles que la fabrication des charbon de bois (makala)...
Malheureusement, de toute les dénonciations et alertes, une menace est oubliée et qui a une conséquence grave sur les produits halieutiques du Lac Édouard. 
Ici, nous alertons sur la pêche illicite dans des zones des frayères à grande envergure dans les zones côtières du Lac Édouard occupées par les terroristes RDF-M23.
Les pêcheurs clandestins qui ont salué l'avenue des ces terroristes, ont vite collaboré avec cette coalition malveillante pour détruire cet écosystème lacustre. 
Ainsi, l'occupation des M23 du bassin du Lac Édouard se solde par l'utilisation des matériels  prohibés de pêche dans cette zone.
♤ Nous signalons la fabrication des petits pirogues dénommées localement DINGÉ, qui se fabriquent en grande quantité dans la localité de Vitshumbi depuis l'occupation des M23, 
♤ Nous alertons la stratégie qu'ont pris les pêcheurs clandestins, qui utilisent les pirogues enregistrées dans d'autres pêcheries pour leurs utilisation dans des zones de frayères près de la rivière Rutshuru. 
une zone est la cible prioritaire, c'est la zone de frayère près de la rivière Rutshuru dénommée KAMUTHEVHIRE.
Dans cette zone de frayère, les pêcheurs clandestins paient 50 000 francs congolais par jour pour travailler comme caution. À l'exemple de l'armateur de Vitshumbi sous le non de NIVA, qui utilise la pirogue numéro 678 de la pêcherie de Kisaka.
 
Recommandations/Suggestions :
 
Pour ce qui précède, d'urgence, nous recommandons  e qui suit :
 
# À l'ICCN, de documenter toutes les infractions et actions criminelles commise sur la biodiversité du PNVi, en mettant en jeux les moyens conséquents, en soutenant les défenseurs de l'environnement qui persistent dans la zone. 
 
# Au Gouvernement, plus particulièrement aux ministres de l'environnement et Développement Durable et ministère en charge de la pêche de prendre des mécanismes urgents pour sauver cette ressource en eau, un écosystème riche en biodiversité et un moyen de survie des communautés riveraines. 
 
# À la communauté Internationale, de sanctionner les actions criminelles commises par les rebelles sur cette patrimoine mondial, le PNVi plus particulièrement le Lac Édouard. 
 
# À la communauté locale, de se désolidariser avec les rebelles et de dénoncer les activités illégales et les violations des Droits Humains que commettent les terroristes du RDF-M33.
 
Merci pour vos contributions

Commentaires

  1. Nous avons besoin de l'information et la sensibilisation pour le changement de mentalité pour sauver notre écosystème. Nous devrions accélérer les émissions, les partages d'expérience pour agir ensemble pour la nature notre berceau et notre nourrisse. Notre vie dépend de notre environnement. Sauvons ensembles nos eaux, nos lacs et toute la biodiversite existence. Agir pour la nature c'est assurer notre vie.

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    1. Merci beaucoup pour votre commentaire, Agir pour la nature c'est sauver nôtre vie, maintenant nous devons agir à partir de là où nous avons le pouvoir d'agir.

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